writchor(s) v2.1 - skies reengineering
11.2.07
follow my ruin (rengaine ?)

"i am a gray man after all, se dit Jhonn, skyseeker, tandis que les nuages basculent encore…"

writchor(s) réingénie le ciel, désormais ici.

19:34
5.2.07
à partir de quel moment l'absence devient-elle disparition ?

01:02
23.1.07
elektriine

la lueur bleue derrière le carreau je sais qu'à coup sûr se/phène et fond en fumerolle ceignant cône tel litho-vermiis géant surgii des steppes freezées
la pluie grise bruine sur l’Usine
[bat le cœur d’icelle – rougeoie plein]
à transpirer pleurs tritiés sur la flore (pour l’esthétique) morne mutante d’un jour jamais éteint

02:15
17.1.07
les yeux le cœur les flux qui saccadent et grattent pour quoi toi
ou pour rien
cache cache vide le crache

00:52
8.1.07
? stridescence

“there’s a bug under your skin i like to lick” :: chocolate washing wool :: in the pipe the reflecting child is two days from here :: endless dronish margins ...

02:35
6.1.07
« La vérité nue était qu'il n'aimait pas parler aux gens ; il n'aimait pas se mêler aux autres ni même penser à eux comme à des individus. Il ne donnait le meilleur de lui-même que lorsqu'il était complètement à l'écart des gens ; il ressentait alors un vague désir de compagnie qui n'était pas déplaisant, un désir qui disparaissait - pour faire place à une angoisse nauséeuse - dès l'instant où il semblait prêt d'être comblé. »
Iain M. Banks, Excession

16:43
10.11.06

looks like a space opera interlude

minimal wine

what do you do for an encore ?

00:01
22.10.06


days of rot
seeds of end ?

23:20
20.10.06
ne pas s'inscrire dans des luttes mais déclencher ses propres
les courants éloignent où les strates renchérissent
si bien qu'à baigner vraiment on orthoperfore
en anhydre décantat juste acide
comme il faudrait (- pas)

01:32
16.10.06
broken beam lullabies

lorsque règne le froid de non retour
reste l’encryption autoabsconse
# de villes vérolées d’antiques damnations
# de courants vischor(s) les pieds pris dans leur spirale phage
# pfff

22:46
27.9.06
que faut-il avoir vu pour laisser s'effondrer que faut-il ne plus voir pour ne plus survivre

01:02
9.9.06
tu étais l'odeur du vent
j'étais l'asymptote de ses rafales

alors tu as fredonné
et je suis orphelin

c'était dans l'air hier matin

14:13
6.9.06
j'avais la transcendance, je tiens l'utopie.

let them crash against each other.

02:12
4.9.06


at last déferlent donc

14:36
l'entonnoir du dégoût remember démembre-moi du/le monde cette nuit j'ai réalisé l'
« arrêter le système »
(les yeux conjugués dans une confondante rougie du matin chagrinée de ne pas être assez virtualisée pour être vraie) qu'il suffisait de cliquer mais au réveil logout un peu plus loin selon les lois de l'absorption bouddhiste de la négativité modèle map-of-my-head dont on notera la discontinuité flagrante au niveau de l'interface où gît l'inversion* des états généraux ascétiques et leur batterie d'équations terrassantes mécaniques surannées des êtres gris matière
morte
là cependant les chiffres manquent comme des rues vides d'ovins à l'horizon d'une si magnétique matière ni noire non plus seulement sans rien de descriptible par les champs jusqu'outrance crus vérités

* l'encaissement des vagues extinguibles dans l'agonie ascétique

14:31
30.8.06
le matin le ciel perfect blue glisse le long du viaduc la courbe me verse là-bas cette west coast le vaisseau immergé en sanctuaire et je me demande pourquoi ils ont tu le passé et surtout pourquoi Charlie fera de même plus tard la fatigue se mélange à l'indolore poids du même and the glass handed kites les vitres sont sales where are you Bethany ?

le train entre en gare de S. je switche de réel le pied dans lequel sera tombe

10:56
27.8.06
reste la part des ténèbres
et, pour le coup, l'accepter ne résout rien.

22:53
25.8.06
cependant je redoutais le sifflement de la machine.

18:45
quelque part j'étais déjà Jarvis Cocker

ça afflue les pseudopoèses, kind of (dendrites fictionnelles dérivantes dont la poétivité se chiffre tout de même en mSv-like), que je dois me dépêcher de mettre des cerveaucapteurs en place, comme des seaux ici et là dans une pièce où le plafond dégoutte d'un dégât des eaux.

this is now.

établir les ©âbles, déjà noter les keywords du jour : hybridations, société active 24h/24h (parallèlisation du loisir ???)-
le temps d'éviter les écueils, les structures
etc.

ps : cet homme, par exemple, a compris l'urgence.

18:39
144ème batch. il y aura des vies sur les murs, déjà ça.

11:33
23.8.06
avoir craché la chaleur.

01:39
18.8.06
stridanse (last lights last drops)

à la porte des néants
m'arrive-t-il d'aggraver des manques
ou d'y morbdire vrai

this is now

l'étroitesse des vides quotidiens

01:48
juste assez faible pour les nerfs sous la gorge
il ne me reste plus que nos cordes

00:31
17.8.06
please wait while mutating.

pesticides glabres à l'insoupçon
comme ultrasons discernés
je me souviens à peine de ces mots pour le tissu diaphane qui recouvre le monde

02:57
16.8.06
incursion

je ne sais plus. à vrai dire. le bruit blanc. leave me alone. où la crudité coïncide avec l'extinction. now this should be endless. this is. concrete = reflective skins = wormholes. leave me. même même même même même même même même. nous comprendre est-ce nous tuer. fuite stationnaire. prologue (ou) chronique. je ne veux plus. perceptions acides se doivent d'être dissoutes dans leur paradoxe. ne plus sentir.

14:44
chiffres sur l'échine
frôlée dans le doute dix atmosphères
cachées à chache-hache l'alchimie
tue par fragments de cobalt tels dit
l'insekte sur la même distanciation

de l'âme monstrueuse

01:30
12.8.06
oui

la fuite énième dimension libérant de l'espace actuel des choses.

21:01
10.8.06
(more) on exile / cqfd

les sens émoussés finissent par te chasser du monde, ou alors quelque part le hacking des nerfs avant le core. et les refuges de devenir enfers, back on the long run. ces heures sans même tes mains, comme le vestige du silence, révélé. affres de douceur.

22:22
6.8.06
planisphérique rengaine

et à bien y renifler, cette esquive n'a-t-elle pas une odeur de mort, de phéromomes cruciformes portées sur le plomb des stratosphères ? il m'arrive de la sentir, le long de ces balafres barbelées d'arachnéennes dépressions, là où claquent noirceurs d'oripeaux, frontière d'incertitude entre plaines semi-infinies
oscillants départs comme des retours
de/vers l'exil

16:37
de la transparence à l'ombre, il n'y a qu'une fuite.

03:54
2.8.06
la latence en kilomètres
juste assez pour décélérer l'inertie
comme un saphir d'absence
dans l'OS réel - crânien
discontinué de défilés sinueux
qu'alternent synovie solaire
et sons abysses où s'in-
verser

et ne plus sentir

00:07
1.8.06
inertial confinement

opaque un rien la fascination la
contemplation au cirque pupille
de cette lie comme une chute
aux couleuvres sombres
, diluées - omnipressantes

02:33
29.7.06


hurle l'onyx désincarnant.

02:47
in distance

là, dans l'inertie silencieuse d'un prétexte
l'inflation noire envahit crescendo le champ
en effondrement
des possibles

02:36
25.7.06
déjà-lu

ça commence par consteller l'espace
comme des poèses, juste inexplicables
corpuscules qui sédimentent en ciments
et macropromesses de sueurs ligantes,
entre, les strates dont tu t'absentes
ont le gris mat d'un tain sans glace.

02:36
20.7.06
oh alors où en
suis-je juste à chercher encore dans certains yeux des méandres de survie
hors de cet insondable interne

car tu sais on ne peut se fuir nulle part
ni même là où tu penses car ce n'est que s'y retrouver

01:11
17.7.06
décollage d'une horizontalité des plans
+++++++ adrénaline ad nauseam
intersidérantes errances

cut.

22:38
obl_itération

mascarade de l'échec
dans l'absolu lequel ?
mais intrinsèque (?)

02:56
-et alors qu'elles atteignent la verticale :

les heures deviennent des territoires
d'où il faut partir
chaque seconde
l'injonction d'un monde dont je ne suis plus
en mesure
de

l'obsession écarlate
je nous sais sur la corde de l'implosion

02:37
14.7.06
à propos

quelle lâcheté est-ce de partir ou de ne pas arrêter ?
inextricable.
assumer, c'est encore accorder crédit à tout ce cirque.

01:09
4.7.06
encore l'inutilité des heures, de l'usage qu'on en fait, du temps jeté à la face morte de la vie. Bethany cette nuit tu me reviens le trait tiré aussi sec que mes yeux. le trait tiré de ses doigts, que je lui avais dit récurrents dans ses textes, qu'elle avait haussé. déglutir ces cliquetis d'instants comme des degrés celsius, cette nuit d'Atomeases, quand n'erre pas hagard jusqu'au charnier d'insectes, là où ne fonds que plastique et piètre asphyxie de quelque chitine égarée.

02:56
3.7.06
tu crois n'être qu'un passé
mais c'est sans compter ces heures où la sueur est un prétexte pour les lésions de s'élargir à ta mémoire.

02:04
2.7.06
pourtant le fleuve charriait des interstellaires destructeurs qu'une vie ne suffirait pas à en extraire les racines.

23:35
29.6.06
note - là

le vent peignait dans les feuilles la rancoeur de ce gâchis. y brille désormais la récurrence d'un vide.

16:25
28.6.06
c'est marrant comme je gagerais qu'on s'imagine les vies qui me retiendraient de ces îlots ici. or des flots aux gradients apathiques ne retire qu'une inexorable sédimentation.

10:28
so sample

entretenir le charbon infectieux sauf-conduit pour demain et pavé dans la morne. comment j'y retourne d'ailleurs à me demander seulement l'once de comment te redécouvrir. sursaut malaisé ou dégâts étendus ? je voudrais bien être de ces egoratiocinérateurs pour prétendre me l'affirmer. ma théorie n'est que le déroulage ambient que contaminent parfois les glitches. and we used to break on it.

01:46
26.6.06
so simple

same problem, same shit, qu'à force les mots ne peignent mais ne disent plus, alors on se fige sous un ciel même qu'ici lui assignant le fardeau de la possibilité d'une douleur. ne plus dire mais creuser à n'être enfin qu'une béance dans le réel, un internement hémorragique confluent d'un oubli qui n'en a que le nom. ou le sien peut-être comme le crucifix de trop.

comme quoi chacun voit le nadir à sa porte.

22:18
Uusitalo. something so vintage i could not describe. tu sais on est tous la porcelaine de l'autre, jamais choses pourtant tu crois quoi, et la quête de l'adaptation rejoint celle de la reproduction. alors. il ne faut plus chercher à vivre, peut-être mettre un peu de mauve(s) dans ses néances de gris, créer - crever. et puis tant va la cruche porcelaine à l'eau sociale qu'à la fin elle se casse. cinq jours par semaine, la lente érosion de l'agenda suicide. ça sent le fracas dans la fatigue. à quoi bon préserver. car en attendant, les pupilles bronzent à la rémanence des cristaux et autres journées inutiles. l'autre à peine mort, célébré no comments, que je gesticule déjà ici, addicted.
bah.
allez, je teste un peu l'endroit en solo, avant que déferlent-

02:43
les nuages donc c'est Bethany pourquoi ? juste un crépuscule rue Réaumur after-rain after-her et l'association immédiate des nappes shoegazer de la Curve à l'instant sa fonte pourtant dans les râles visqueux d'une poétique rotten dont les soubresauts d'éjaculats noirs préfigures de l'après alors en gestation write-core.

00:37
25.6.06
3-Dimensional 3 Days long literally iDm-like noises Drowning :
expect some kind of social Disturbances

22:25
24.6.06
iszoloscopy

coffee circles like devoured moons in white skies
or brown harsh beats melted on dusky shores

23:55
© nikola akileus - design by atomeases

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